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3 décembre 2024
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Affaire Ecobank-Togo contre Elvire Blanchette Grunitzky : Pourquoi laisse-t-on l’auteure des malversations pour s’en prendre aux présumés complices ?

* Me Alexis Coffi AQUEREBURU, première victime collatérale des réseaux en branle

Me Alexis Coffi Aquereburu
Me Alexis Coffi Aquereburu

L’affaire continue de faire grand bruit dans Lomé et partout au Togo. La principale actrice, oscar des transactions illégales et frauduleuses Elvire Blanchette Grunitzky en siphonnant allègrement les comptes de certains gros clients de la banque panafricaine offre depuis quelques mois des occasions en or à des gens pour vilipender leur collègue, leur concurrent. Ils s’illustrent ainsi dans des séries de diffamation sans pour autant laisser le choix et la latitude à la justice saisie du dossier de faire son travail. L’occasion est bonne pour s’attaquer par des détours et contours à d’honnêtes citoyens qui ne vivent que de leur métier.
La scène à laquelle nous assistons depuis quelques semaines est loin d’être totalement une réalité. Elle est diluée, marchandée à loisir. Chacun y va de ses intérêts et ainsi faisant, au lieu de laisser la justice faire tranquillement son boulot, on tente allègrement de la dérouter et de l’orienter vers des cibles. On diabolise le sujet pour verser purement et simplement dans la jalousie et l’expression d’une certaine haine viscérale envers des proches des premiers concernés ou cités dans cette affaire. On s’improvise même en justicier ou acteur premier de la justice. On fait le procès, on condamne les prévenus, on scelle leur sort avant la clôture de l’instruction et même l’ouverture et le déroulement du probable procès.
Dans cette affaire qui continue de défrayer la chronique, nous n’avons nullement l’intention de préjuger, de juger ou de déjuger. Raison pour laquelle depuis son commencement, nous nous sommes interdits d’en parler sans avoir assez d’éléments justes et vrais en notre possession. Tout simplement parce que notre métier nous l’impose. Le journaliste ne se jette pas sur un sujet sans avoir au préalable et de façon professionnelle, sans influences de réseaux, vérifier les informations à sa disposition. Il ne verse pas dans la diffamation. Il ne prête pas sa plume pour servir des réseaux mais reste au service de l’information, rien que de l’information. Ce qui n’est pas toujours le cas dans notre pays surtout lorsqu’on est en face de dossiers sensibles et de réseaux pro actifs. On préfère au-delà ” des révélations ” désorienter le juge pour ainsi  l’orienter vers ” l’ennemi à abattre “. Soit disant,  tout est bon pour salir, manipuler  et désinformer.
Le cas qui retient notre attention est cette expression diabolique qu’on développe à l’endroit de l’ancien Bâtonnier Alexis Coffi AQUEREBURU parce que dit-on proche du compagnon d’Elvire Blanchette Grunitzky, l’actrice principale de ce déshonorant film. Une actrice qu’on tente de faire oublier au détriment d’un ” présumé complice “.

Me Alexis Coffi AQUEREBURU, l’homme à abattre à tout prix
Parlant de ce feuilleton ECOBANK, certains esprits mal intentionnés faisant partie nommément de réseaux d’intérêts ne cessent de multiplier les ardeurs pour salir l’avocat et ancien Bâtonnier Alexis Coffi AQUEREBURU. La dernière trouvaille est cette soit disant ” tentative de corruption de magistrat ” en faveur de son ami Jonathan FIAWOO. On lui fait tout simplement le procès sans en avoir concrètement les preuves de s’être transporté avec le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT) Jonathan FIAWOO chez le Président de la Cour Constitutionnelle Abdou Assouma pour dit-on ” négocier un non-lieu pour FIAWOO auprès du juge d’instruction avec un sac de 50 millions de FCFA “.  Aussi lui a-t-on collé une deuxième tentative de corruption du juge d’instruction qui aurait pris 85 mille euros et les aurait versés au Procureur général pour servir de preuves.
A la publication de ces articles, nous n’avons pas encore enregistré une sortie du Président de la Cour constitutionnelle et du Procureur général pour infirmer ou confirmer cette affaire de tentative de corruption. Puisque les informations précisent que ce serait auprès du Président de la Cour constitutionnelle que les ” 50 millions ” auraient été déposés tout comme auprès du Procureur général pour les 85 mille euros.
Pour ce qui est de Me Alexis Coffi AUEREBURU, qui reste serein et  non ébranlé par cette attaque en séries, nous sommes à même de dire sans nous tromper que cette salissure à lui adressée serait l’œuvre d’un réseau qui lui est hostile juste par jalousie, envie et crainte. En tout cas, c’est l’avis de ses proches qui nous ont démenti toute inculpation de l’avocat jusqu’au moment où nous mettons cet article sous presse.
En tout état de cause, on profite de son amitié avec Jonathan FIAWOO pour lui régler des comptes. Comme quoi si ton ami a des problèmes, on n’a plus l’obligation de demeurer à ses côtés, lui remonter le moral et toujours lui témoigner son amitié. Sinon, on ne parlerait plus de la fidélité en amitié. Autrement dit, si ton ami rencontre des problèmes, il faudrait plutôt l’exposer davantage. Quitte à le salir, à l’enfoncer parce que l’opinion primaire le conçoit ainsi.
La faute commise par Me Alexis Aquereburu serait d’avoir soutenu Monsieur Jonathan FIAWOO au détriment de certains candidats à la présidence de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT). Et surtout d’avoir créé depuis plus de trente ans un empire au tour de grosses sociétés de la place dont son cabinet est Conseil. Aujourd’hui, pour lui prendre ces gros portefeuilles, il faut profiter de cette affaire qui tombe à pic, pour ternir son image auprès de ses clients.
Pour l’instant, nous ne nous sentons pas obligés de dévoiler les réseaux en question, acteurs de cette sordide et méchante campagne d’anéantissement de l’ancien Bâtonnier Alexis Coffi AQUEREBURU. Mais au moment opportun et sans détours nous mettrons les projecteurs sur les acteurs premiers de ces  réseaux et leurs facilitateurs. Contrairement à la pratique qu’on observe depuis quelques jours, nous essayerons, de notre côté, de regrouper le maximum de preuves sur le complot ourdi contre  Me Alexis Aquereburu.
Tout ce que nous souhaitons tout comme le commun des mortels, c’est que les responsabilités soient clairement situées dans cette affaire Ecobank contre Elvire Blanchette Grunitzky. Que cette affaire ne serve pas d’occasion à des gens mal intentionnés pour nuire gratuitement à autrui… Pour des intérêts inavoués.
     Crédo TETTEH

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