Les nobles ambitions que nourrit le Président Faure Gnassingbé pour le Togo se résument à un concept « le renouveau ». Le renouveau entend un contexte nouveau, et donc nécessitant des acteurs nouveaux pour porter cette dynamique tournée vers la réalisation d’un rêve commun. C’est ce qu’a bien compris le chef de l’Etat en choisissant Ahoomez-Zunu pour conduire l’équipe gouvernementale dont la mission principale est d’œuvrer pour le bonheur des populations dans le cadre d’un Togo émergence. Une mission que le premier ministre conduit si bien et dont la visibilité sur le terrain convainc les partenaires. Même absent du pays pour des ennuis de santé, les jalons jetés par cet administrateur exceptionnel font avancer les choses. C’est la marque d’un vrai chef d’orchestre.
Le chef du gouvernement Ahoomey-Zunu est absent du pays, pour raison de santé, depuis quelques semaines. Mais force est de constater que l’action gouvernementale n’a pas reçu un coup. Les membres du gouvernement, chacun dans son département, assument bien les missions identifiées de commun accord avec le premier ministre pour traduire dans les faits la politique du renouveau du Président Faure. Cette constance observée dans l’action gouvernementale renseigne à plus d’un titre sur les capacités managériales du locataire de la primature.
Souffrant d’une péritonite, une inflammation aiguë du péritoine localisée ou généralisée, dont la cause est le plus souvent infectieuse, liée à un germe, une bactérie, la vie du Premier Ministre Ahoomey Zunu n’est pas en danger. Car il a déjà subi une intervention chirurgicale avec succès en France il y a quelques semaines.
Ahoomey-Zunu est un administrateur compétent. Il faut le lui concédé. Certains politologues vont plus loin en disant de l’homme qu’il est un bon chef d’orchestre. En scrutant le management de Séleagodji Ahoomey-Zunu, ces remarques riment avec la réalité.
Un chef d’orchestre hors pair
Après un premier passage concluant à la tête du gouvernement, Seleagodji Ahoomey-Zunu fut reconduit à son poste par le chef de l’Etat. On ne change pas une équipe qui gagne, avaient conclu les analystes politiques qui n’avaient pas été surpris par cette reconduction. Seuls quelques envieux du Premier ministre et qui guettaient son poste avaient grincé les dents. C’était leur façon de digérer leur échec dans une entreprise où ils ont injecté des billets de banque pour se payer sa tête. Les faits parlant d’eux-mêmes, les manœuvres de diabolisation n’ont pas tenu devant les qualités du PM Ahoomey-Zunu. Le Chef de l’Etat lui fait confiance au regard de sa forte capacité à comprendre les enjeux du renouveau.
Faure Gnassingbé n’est pas un homme de discours. L’action suffit pour le convaincre. Ahommey-Zunu le convainc par son pragmatique. Ceci s’apprécie par le travail que ne cesse d’abattre le natif de Kpelé depuis qu’il a les manettes du gouvernement entre les mains. Les actions qu’il pose reflètent l’utilité et l’efficacité, les éléments fondamentaux pour réussir le renouveau. Ainsi se développe le langage de la sincérité au Gouvernement. C’est une nouvelle méthode qui vise à responsabiliser les ministres face au défi de progrès. Les sujets transversaux sont gérés dans une harmonie de complémentarité d’actions gouvernementales. Si bien que tous les ministres ont une vision synoptique des actions déployées pour assurer un avenir radieux aux populations.
Elections législatives réussies
L’inexorable engagement du Togo pour la démocratie et les droits de l’homme s’est manifesté à travers les élections législatives du 25 juillet 2013. Une élection qui s’est déroulée dans le calme et le consensus. Tous les rapports dressés par les différentes missions d’observation ont relevé le caractère pluraliste, transparent et démocratique de celle-ci. Le mérite de la réussite de ces élections va au peuple togolais mais plus au Premier ministre qui a assumé avec doigté et dextérité sa responsabilité. Car, mettant en œuvre les instructions du président Faure, qui voudrait d’une élection démocratique, transparente et sans violences surtout, Ahoomey-Zunu s’était investi à obtenir un minimum de consensus autour de l’organisation des élections. Le mini dialogue ayant abouti à la participation de l’opposition aux élections est une preuve de la subtilité du patron de la primature. Dans une démarche volontariste, le gouvernement fit des concessions, même si cela amenait le Premier ministre à se faire violence. Dans tous les cas, Ahoomey-Zunu savait que cela valait la peine. La suite lui a donné raison. Tous les partenaires ont tiré chapeau au Togo. Le Président Faure venait ainsi de marquer des points dans sa politique de renouveau. Le succès de Faure c’est qu’il a parié sur le bon cheval : Ahoomey-Zunu.
Relance économique
Le Togo vient de loin, c’est clair. Pour le reconstruire, des ressources humaines de qualité sont plus que sollicitées. Il y a évidemment le besoin des hommes de conviction poussé par une volonté de relever le pays. Le choix d’Ahoomey-Zunu pour succéder au technocrate onusien Gilbert Fossoum Houngbo a été une décision visionnaire. Faure Gnassingbé a su détecter un bon administrateur pour asseoir sa politique visant le progrès économique. Le constat qui force l’admiration de tous est l’assainissement du climat des affaires. Avec la mise en place d’un guichet unique du commerce extérieur et la lutte contre les lourdeurs administratives dans la création d’entreprise c’est tout un cadre propice à l’investissement qui y voit le jour.
A suivre….
Crédo TETTEH