Il y a quelques années, l’on vendait pas trop cher sa peau. Plutôt ses potentialités et capacités à gérer les affaires de la Cité. Surtout après le passage de l’onusien Gilbert Foussoun Houngbo.
Mais en homme averti de la vie politique togolaise pour l’avoir pratiquée depuis plusieurs années et à belle preuve, le Premier ministre Ahoomey-Zunu, convaincu que rien ne se fait sans abnégation a aujourd’hui à son actif un bilan politique positif. C’est sous ce natif de Kpélé (préfecture de Kloto) au courage politique incommensurable aux cotés du chef de l’Etat que la décrispation de la tension sociale et politique est devenue une réalité. Méthodique et sûr de là où il pose ses pieds, Arthème Ahoomey-Zunu a su avec abnégation conduit le processus des élections législatives de juillet 2013 à bon port.
D’aucuns ne vendaient pas cher sa peau quant à la bonne organisation de ces législatives. Il avait non seulement étonné mais surtout épaté les observateurs de la scène politique togolaise. Sans véritables moyens ou du moins avec les moyens de bord, l’ancien secrétaire général de la présidence togolaise a su forcer le respect de la communauté internationale, de la classe politique togolaise même si par envie et jalousie, cette classe ne veut pas ouvertement lui reconnaître ses efforts, ses succès. L’essentiel est que cette classe en coulisse l’affirme, pas dans des oreilles de sourds mais d’observateurs avertis.
Tout comme ses prédécesseurs Joseph Kokou KOFFIGOH, Edem KODJO, et Gilbert Fossoun HOUNGBO qui n’avaient pas démérité, Ahoomey-Zunu demeure aujourd’hui le Premier Ministre qui a eu à gérer des dossiers extra sensible.
Tel un sapeur pompier, Arthème Ahoomey-Zunu a calmé par son action gouvernementale les tensions sociales et surtout les tensions qu’entretenaient à travers les actions syndicales par moments certains politiques qui avaient sans faux fuyant échoué leurs actions politiques. Histoire de se rabattre sur les foyers sociaux et emmerder l’action politique du successeur de Gilbert Fossoun HOUNGBO.
Doté d’une diplomatie d’action, Arthème Ahoomey-Zunu par ses réussites politiques a suscité la jalousie et l’envie de ses amis politiques d’hier et d’aujourd’hui.
N’ayant pas trouvé facilement une occasion en or pour l’emmerder et l’effacer de la haute sphère politique, certains de ses détracteurs n’ont pas hésité à lui souhaiter une mort. Mort qui devrait advenir après sa maladie qui date aujourd’hui de 6 mois. Nombreux avaient prédit et pronostiqué sa mort pas politique mais plutôt humaine. Ils lui en voulaient tellement que leur but ultime serait sa mort simplement. Ils ont lutté mais comme n’étant pas du bon côté, ils ont simplement échoué et lamentablement car les feuilles de destin de cet homme politique ne s’arrêtait pas à sa maladie. Il a lutté contre cette maladie et au bout de l’effort il a retrouvé sa santé. Précisons qu’il avait au moment de sa maladie bizarre bénéficié du soutien de son premier responsable, le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Ce dernier ne l’avait pas du tout abandonné. Bien plus il était à ses cotés jour et nuits car il savait compter sur lui et avec lui.
Aujourd’hui, Arthème Ahoomey-Zunu qui fut malade il y a exactement 6 mois, est encore à la commande de l’action politique en synergie avec le Président de la République pour d’autres résultats éclatants. Ce que nous lui souhaitons abondamment toujours avec une bonne dose de reconnaissance et surtout d’humilité. Car dit-on on ne naît pas roi, on le devient. Et seul le Créateur le sait à l’avance.
BOA