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21 novembre 2024
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Législatives du 21 juillet : Le fichier électoral est “prêt”, quelque 2.626 “faux” électeurs dégagés selon la présidente de la CENI,Mme.Aguigah)

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Mme Angèle Dola Aguigah,présidente de la CENI

Le fichier électoral pour les élections législatives du 21 juillet est “prêt”, a affirmé mardi à la télévision nationale, Mme Angèle Dola Aguigah, présidente de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Le recensement électoral s’est déroulé du 15 mars au 30 avril. Au total 3,100 millions de personnes avaient été enregistrées sur les listes électorales provisoires.

“Le fichier électoral est aujourd’hui prêt, puisqu’on a pu dégager 2.626 électeurs : ceux qui ont eu des cartes d’électeurs d’une façon frauduleuse et des inscriptions multiples”, a déclaré M.Aguigah (Photo) à l’issue d’une réunion du Comité de suivi des élections. Plusieurs sujets ont été abordés lors de cette rencontre notamment le bulletin de vote, les commandes des matériels électoraux, notamment toutes les fournitures, les isoloirs, les urnes et l’encre indélébile et le déploiement la semaine prochaine des urnes et tableaux d’affichage des listes électorales. Le travail des professionnels des médias était aussi au centre des discussions : “Nous sommes à un moment où, les médias doivent nous accompagner et doivent vraiment faire preuve d’impartialité. Nous demandons aux médias de conduire ce processus avec nous, pour que le 21 juillet, nous puissions aller aux élections dans la paix, dans la transparence”, a souligné la présidente de la CENI. Au total 12 partis politiques, 2 regroupements (au total 22 partis politiques) et 14 indépendants sont en lice pour ces législatives, selon la liste publiée mardi soir par la Cour constitutionnelle. La Cour a examiné 183 dossiers dont 162 au nom des partis politiques et 21 au titre des groupes de candidats indépendants. Au total 13 listes ont été invalidées par la Cour dans 9 circonscriptions électorales (Agou, Tchamba, Dankpen, grand Lomé, Vo, Kpendjal, Lacs- Bas Mono, Kozah et Yoto) pour quatre raisons : l’âge des candidats, la cohérence des nom et prénom sur les actes d’état civil, des inéligibilités et le respect de la Constitution et de la Charte des partis politiques. Rappelons que 91 sièges sont en jeu dans 30 circonscriptions électorales contre 81 sièges que compte l’actuelle Assemblée nationale.

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