La finale inter- régionale du concours ” mon idée, mon entreprise “, organisé par l’Agence universitaire de la francophonie, a rendu son verdict la semaine dernière à Lomé.
Des 18 candidats retenus lors des phases nationales dans les dix-sept (17) pays d’Afrique centrale, Grands Lacs et Afrique de l’Ouest, c’est l’ivoirienne Yah Thérèse Kouame, de l’Institut national polytechnique Félix Houphoët-Boigny de Yamoussoukro (Côte d’Ivoire), qui a été classée 1ère par le jury pluridisciplinaire, international, composé d’universitaires, d’entrepreneurs, d’experts financiers et comptables pour son projet intitulé ”O’seil / Infusions de bisap disponibles sous différentes saveurs du côté de l’Afrique de l’Ouest.
Sa camarade bienheureuse du Cameroun Inna Aliou Maimouna, (Ecole nationale supérieure des travaux publics- Cameroun), dont le projet est Fuful de class : école digitale d’apprentissage des langues africaines est classée 2è.
Les deux lauréates ont été récompensées respectivement d’un chèque de 1 000 000 FCFA et de 750 000FCFA. De plus, elles assisteront au prochain sommet de la francophonie qui se tiendra le 26 octobre 2022 en Egypte où elles recevront leur prix. Elles ont exprimé leur joie, l’honneur et leur fierté pour le choix porté sur elles, dignes représentantes de leur université et de leur pays. Elles ont remercié l’AUF qui leur a permis, à travers ce concours, d’exposer leur idée et le savoir-faire qui l’accompagne.
Selon les organisateurs, l’objectif principal du concours est de susciter et encourager l’esprit entrepreneurial des étudiants. « Ce concours s’adresse aux étudiants des établissements membres de l’AUF et vise à leur offrir l’opportunité et les moyens de transformer leurs idées en projet d’entreprise.
Plus spécifiquement, il s’agit de susciter et encourager l’esprit entrepreneurial des étudiants, d’encourager la réflexion autour de l’entrepreneuriat des étudiants, de faciliter la mise en relation entre des étudiants porteurs d’idées d’entreprise et divers acteurs de l’écosystème entrepreneurial (start-up, incubateurs, entrepreneurs…) et de promouvoir les initiatives entrepreneuriales des étudiants », indique-t-on.
La Rédaction
